Michèle Beddington et la Panaméricaine présentent :
VÉNÉRATIONS – ART MIXTE
Valery Wallace – LASK – Martin Oubina
EXPOSITION du 8 juin au 31 juillet 2024 – 13, rue de la prison – 83830 BARGEMON
VERNISSAGE le samedi 8 juin à partir de 16h00 jusqu’à 20h30
Horaires d’ouverture du mercredi au dimanche inclus de 11h00 à 19h00 et sur RDV
“Dessins au Stylo-bille”
Du 1er octobre au 29 octobre 2023
Jacky Ananou
“Nouvelle Vague”
Du 1er juillet au 9 septembre 2023
Peintures de Ramon Otting – Photographies de Maarten Koch
EXPOSITION CÉLIA GOUVEIAC – GALERIE LES REMPARTS – BARGEMON – Exposition prolongée jusqu’au 30 juin
Je Suis !
La série « Je Suis » s’est imposée comme une évidence découlant d’un travail de recherche picturale initié il y a 22 ans maintenant. Cette attraction vibratoire a émergé en février 2022, par mes pores autant que par mon œil, je reçois ce champ de couleurs, quelque chose d’invisible, une onde vient m’informer sur la cellule. Un point, puis, un mouvement après l’autre patiemment tracé, comme les pas des derviches dessinent un cercle sacré. Rond comme la terre, le soleil, la roue des saisons, ces motifs dont le commencement et la fin se rejoignent ne sont pas sans rappeler l’art Aborigène et Celia recontacte dans ce geste la source familiale et généalogique, une mémoire ancestrale.
Telle une cellule qui se multiplie, graine première d’une semence dupliquée encore et encore pour faire humanité. Le geste répété est le mantra qui affirme une altérité : « je suis qui je suis, je suis vivante ou plutôt, je suis la vie en mouvement permanent. »
Chacun souverain, à la fois singulier, unique et vivant parmi les vivants comme fleurs, étoiles, belettes, tous vibrants au diapason du mystère de la création. Cercle pictural, comme nous faisons ronde, les couleurs célèbrent la vie et empruntent au bleu du ciel, à la blondeur des blés mûrs, au rose acidulé des framboises à la verte obstination de la végétation. Les couleurs dansent toutes les vibrations des notes musicales, pour honorer la vie. C’est la rondeur d’un iris bienveillant qui nous regarde autant qu’on le regarde un « envisagement » réciproque qui cherche à atteindre une vérité, un dépouillement, une nudité. Je trace un mouvement qui se déploie, s’agrandit comme pour dire la vie qui ne cesse de traverser de la cellule microscopique aux confins de l’univers en expansion, c’est là ma manière de dire ma gratitude pour ce qui est donné et vous inviter à entrer dans la danse.
Avant tout, être, expérimenter…
Créer c’est manifester ce qui surgit de l’intérieur, ce qui fait rage ou brûle en soi. Mon engagement avec l’art, c’est avant tout celui de la vie. Celui d’aller au-delà de ce qu’on veut me faire croire…
Celia Gouveiac est née au Brésil. Passionnée d’Art dès son plus jeune âge, elle étudie la danse, la musique, le théâtre et la sculpture. Ses œuvres coexistent dans un univers cohérent, fruits d’un parcours singulier et d’un matériel basé sur la relation humaine. Authentique, elle fuit tout alibi intellectuel, travaillant et défendant son rapport à la matérialité, le pouvoir de la main dans l’art. Son travail est l’expression d’une spiritualité contemporaine, celle qui respecte les différences, les valorise et les questionne et convie le public pour une nouvelle vision engageant un échange chaleureux.
La femme et artiste croit profondément que l’Art peut être l’instrument d’une transformation sociale et un puissant activateur des consciences.
EXPOSITION PROLONGÉE JUSQU’AU 2 JUILLET 2022
EXPOSITION PROLONGÉE JUSQU’AU 27 FÉVRIER 2022
Exposition prolongée jusqu’au 21 décembre 2020
Prolongé jusqu’au dimanche 16 août 2020
ALTROVE
Elsewhere is not far away and is not an an image of distant countries or exotic ones.
Elsewhere is right here, the nature which surround us, which fails to gain our respect
Elsewhere is a concept, an idea of representation of our life, of our territory that we consume
Elsewhere is the abundant beauty and force of nature before which man is small
and almost disappears.
ALTROVE
Ailleurs ce n’est pas loin, ce n’est pas une image de pays lointains, de paysages exotiques
Ailleurs est ici, c’est la nature qui nous entoure, qui nous arrive de ne pas respecter.
Ailleurs c’est un concept, c’est une idée de representation de notre vie, de notre territoire que nous consommons sans cesse.
Ailleurs c’est la beauté débordante de la nature .
L’homme devient petit presque à disparaitre.
ALTROVE
Altrove non è lontano, non e un immagine di paesi lontani, di paesi esotici
Altrove è qui, è la natura che ci capita di non rispettare
Altrove è un concetto, è un idea di rappresentazione della nostra vita, del nostro territorio che consumiamo ininterrottamente
Altrove è la straripante bellezza della natura
L’uomo diventa piccolo quasi a scomparire
Claudio Missagia
Communications with colors For me art is not simply a reflection of reality, but must stand for itself. In my paintings I transform the seeming reality and make an offer that opens the viewer`s mind.. The pictures of Willem de Kooning and Joan Mitchell appeal to me the most, especially their late works, where the color is so fresh and direct on the canvas, as if it had been applied only yesterday. I begin painting by choosing a color. The next color is reacting to the first color, so a dialogue between them is immediate. The two colors suggest a space inside the pictural plane. I continue with this as my focus. The colors often reflect an emotional aspect of my state of mind, but the task of harmony is a challenge to my skills as a painter. In my opinion the artwork must give something back in return for the attention I give to it – not unlike a conversation with a friend. It is a dialogue. Bettina Zapp – München, in July 2019 Communication avec des couleurs Pour ma part l’Art n’est pas purement le reflet de la réalité, mais devrait se tenir tout seul. Dans mes peintures je transforme la réalité apparente en offrant ainsi la possibilité d’ouvrir l’esprit du spectateur. Les oeuvres de Willem de Kooning et de Joan Mitchell me parlent le plus fort, surtout la dernière période de leurs carrières, où les couleurs sont si fraiches et directes sur la toile, comme si elles avaient été appliquées hier. Vivacité, richesse de couleurs et liberté d »esprit sont pour moi les motifs essentiels dans ma peinture. Pas de formules rigides! Les peintres de la couleur développent des relations complexes car la couleur, c’est l’interaction. La choix de couleurs doit former un équilibre d’où sortira d’office l’image. A mon sens, le tableau doit rendre quelque chose en échange pour l’attention que moi, l’artiste, et vous, le spectateur lui consacrez, comme une conversation avec un proche : Bettina Zapp – Munich Juillet 2019 Über die Farbe Für mich ist Kunst nicht einfach ein Abbild der Realität, sondern muss für sich selbst stehen. Ich möchte nicht abbilden, was sich augenscheinlich darstellt, sondern die Gefühle malen, die das Gesehene wachgerufen hat. Vertreter des abstrakten Expressionismus wie Willhelm de Kooning und Joan Mitchell sprechen mich an, vorwiegend ihre späten Werke. Die Farbe steht so frisch und direkt auf der Leinwand, als wäre sie gestern erst aufgetragen worden. Ernst Strauss beschrieb die Farbe „als das persönlichste einer Malerei…sie lässt sich weder übertragen, noch übernehmen.“ In meinen Arbeiten ist die Farbe das wichtigste kompositorische Element. Ich verwende hauptsächlich großformatige Leinwände: Malt man ein großes Bild, geht man hinein, ist man mitten drin. Bei kleineren Formaten steht man außerhalb der eigenen Erfahrung. Ich denke, Kunst muss etwas zurückgeben für die Aufmerksamkeit, die man ihr widmet – ähnlich einem Gespräch mit einem Freund. Der Betrachter ist also „im Gespräch“ – kein Cocktail- Gespräch, sondern in einem Herz-zu-Herz Gespräch. Bettina Zapp – August 2019 |
Anne VILSBØLL
À la recherche du sens de l’existence
29th June – 31st August 2019
Opening Saturday 29th June from 5pm
Beddington Fine Art Bargemon
Propos de l’exposition
L’exposition “Encuentros en Buenos Aires” (Rencontres à Bue- nos Aires) est un projet de longue date pour le photographe Valery Wallace. Longtemps rêvée, telle une évidence, cette exposition lui tenait à cœur avant même qu’il fasse connaissance avec la capitale argentine. Il avait le sentiment, voire une certitude, que cette ville tant désirée le bouleverserait.
La rencontre avec Buenos Aires a lieu fin 2018, et la rencontre est belle. Il est saisi par ses contrastes, l’exubérance extrême et la nostalgie retenue, les lumières crues sur fond bleu et blanc et la palette de clairs-obscurs, le vacarme fébrile et l’amère mélancolie. Il parcourt ses quartiers, traverse ses parcs, flâne dans ses recoins les plus secrets, elle lui ouvre son cœur, lui livre ses mystères, ses plaies ouvertes, ses espoirs et désespoirs.
De cette communion est née une série de clichés vibrants. A dire vrai, cette rencontre ce sont des rencontres. Les portraits présentés ont pour toile de fond des histoires vécues, des imprévus, des re- noncements, des recommencements. Avec pour fil rouge, comme témoin de leurs destins croisés, le “fileteado” argentin. Un art typiquement portègne incarné ici sur certaines photos par l’ar- tiste Dario Rego, avec ses filets, fioritures et arabesques aux couleurs subtiles et néanmoins traditionnelles.
About this exhibition
The Exhibition « Encuentros en Buenos Aires »( Encounters in Buenos Aires ) has been a long standing project for the photographer Valery Wallace. Long dreamt of and inevitable this exhibition was closest to his heart even before he came to the Argentine capital. it was his innate feeling rather a certainty, that this so admired city would empassion him.
His encounter with BUENOS AIRES took place in late 2018 and was memorable. He was stuck by her contrast , her extreme exuberance and deeply rooted nostalgia, the blue llghting behind her blue and white back screen and her chiaroscuro palette , the febrile din and the bitter melancholy. He cris crosses her multitude of areas, her parks and wandered around her most secret places and in return she opened up her heart to him, uncovered her mysteries, her open wounds and her hope and despair.
Are born from this communion a series of vibrant images. More precisely this encounter is one of many .The portraits on view have a backdrop of lives lived, unforeseen moments, renunciations and renewals. We note an interconnecting theme as witness to their linked destinies, the argentine fileteado. a typically Buenos Aires Art put into flesh on several photographs by the artist Dario Rego with his subtly but nevertheless traditionally colored nets, frills and arabesques.
Aphrodite
Beddington Fine Art Bargemon
The Gallery downstairs
On exhibition till January 2017
William BRAEMER
From 28 of March to 11 of June 2016
Opening Monday 28th of March 2016
The indeterminate nature of movement, irresolution, doubt, indecision show up in these video stills. While the meanings and narratives of the video works themselves can be seen and captured in time in these stills, they exist as another world. A world of mystery, confusion, fear, ache, nostalgia, deep need, yearning.
Shown alongside the video work, the Stills reflect our desire for permanence, for memory, to love, to desire, to hold. With the vertical display of the three closely aligned stills, the movement and dynamism of video is captured in paradox.
The insecurity of life, the illusion of safety, the rejection of sexual mores, the fascination of death and the unknown.
The cartwheeling blur, the insubstantiality and uncertainty of the inner world takes physical form in these Stills. One can enter the forest, luxuriate in its mysteries, live within its branches.
For more information please contact : Michèle Beddington
Beddington Fine Art Gallery – Les Remparts – 83830 Bargemon, Var, Provence, France
☏ : +33 (4) 94 76 64 06 – mob.: +33 (6) 64 80 29 55
✉ : contact@beddingtonfineart.com
www.beddingtonfineart.com
Montrées à côté du travail vidéo, les Stills reflètent notre désir de permanence, de mémoire, aimer, désirer, chérir. Avec l’accrochage vertical des trois stills si prochement alignés, on capte paradoxalement le dynamisme de la vidéo.
L’insécurité de la vie, l’illusion de l’absence de danger, le refus des excés sexuels , la fascination de la mort et de l’inconnu.
La roue trouble, l’insubstanciel et l’incertain du monde intérieur prend une forme tangible par ces instantanés. On peut entrer dans la forêt, s’abandonner dans ces mystères et vivre entre ses branches.
La recherche de la 3e dimension, avec la notion de l‘espace, de la lumière, du mouvement et de la couleur, répond à une envie de vivre.
La naissance du tableau laisse libre cours au hasard et la spontanéité d‘un moment. La gestuelle aléatoire pose les bases de tout un ensemble de traits droits et courbes, de points, de cercles qui sont le départ d’un monde irrationnel, spatial et sans liens direct avec la raison, allant dans toutes les directions de liberté.
Il s’agit de jeter, pèle mêle, un ensemble d’éléments géométriques à construire comme les modules d’un jeu de construction ou d‘un mikado.
En recomposant ces éléments, le tableau, alors, prend l’aspect d’une architecture, où l’on va circuler intimement par l’esprit et l’habiter comme étant chez soi. Tout est intuition spontanée en rapport étroit avec mes sens intérieurs, où la géométrie se joue d‘elle-même et de ses règles.
Les joies, les tristesses, la nostalgie du passé où la jeunesse avait tous ses espoirs d’existence, habitent en permanence mon esprit et sont le ferment constructif de mes créations en général.
La musique avec ses harmonies et ses rythmes joue étroitement son rôle, selon des genres divers et très éclectiques.
Après avoir éparpillé les fragments dessinés sur le papier ou la toile, se met en place rapidement, et de façon paradoxale, une logique stricte d’assemblage et de connexions des formes et des lignes entre elles.
De cette abstraction générale, de ces relations et de ces mariages des formes, naît une symphonie de mouvements qui se croisent et s‘entrecroisent allègrement.
S’extirpant de ce chaos des connexions des traits et des formes, s’impose, dans une indicible joie, l’aboutissement pragmatique d’une harmonie et d’un équilibre évidents de vérité et de justesse: l’état de la beauté pure tant recherchée.
La beauté, maître mot dans mon art, justifie l’amour de la création et des valeurs d’équilibre qui construisent une société bien faite. On décèle, au-delà de l’aspect purement visible, un monde symboliste que certains initiés peuvent apprécier ou réfuter, selon chaque culture et sensibilité.
Tétraktys, titre de l’œuvre qui illustre l’affiche de l’exposition, en est l’expression pythagoricienne majeure.
« L’impact de l’angle aigu d’un triangle sur un cercle produit un effet pas moins puissant que le doigt de Dieu touchant le doigt d’Adam chez Michel-Ange ». Dixit : Kandinsky
Jean-Yves LECHEVALLIER
écrit à Peymeinade le 5 mai 1015
« Apprivoiser la couleur et son expression, ressentir en un trait la vigueur et la douceur du souffle, capter le sens d’un mouvement ou d’une émotion, ne retenir que l’essentiel stylisé où la couleur devient ponctuation …. sont la priorité de cette démarche où l’encre de Chine par la plume et le pinceau donne toute son énergie fulgurante » Yvon Kergal [Plus d’information] « L’absolu du geste et le geste de l’absolu. Marquer l’instant fugace par une couleur, un trait, où le souffle est le reflet d’une implication totale du corps et de l’esprit. Ne garder que l’essentiel et se défaire du superflu, comme une invitation à retrouver une unité primordiale, et à porter un autre regard sur le monde qui nous entoure. » Lume [Plus d’information] Tête à tête artistique entre Lume et Yvon Kergal où l’expression picturale vaut tous tous les mots « I aim to tame colour and it’s expression, sense in a single line the vigour and softness of a breath, capture the sense of a mouvement or an emotion, reserving solely the stylised essential, whence colour marks the punctuation …. all combine through pen and brush borne indian ink to provide its incandescent energy« . Yvon Kergal [More information] « The absolute gesture and that of the absolute. To mark the fleeting moment through a colour, a line, in which the exhalation is the total implication of body and soul.To shed all but the essentail as an invitation to rediscover a primordial unity and lend a different regard to the world around us. » Lume [More information] Artistic tête à tête between Lume and Yvon Kergal where pictural expression is worth all the words. |
Modern Art and Riviera Watercolours
Pierre Cornu – La Sieste 1895 -1996 – Oil on canvas Dim : 60,50 x 46 cm |
Ivan Chevillotte & Beddington Fine Art
präsentieren / present
15th November 2014 – June 2015
Ramon Otting
Oh ! J’adore la mer
The Beddington Fine Art Gallery is delighted to present new works by Béatrice De Domenico, this being the first time in five years that new pieces see the light of day from her studio.
From her past work, sculptures that were endowed with exaggerated volumes, she has merely retained the skeletons drawn out in galvanised wire but which previously were drowned in resin !
Her most recent structures, lightweight and mobile, push at the frontier separating drawing from sculpture and are expressed in different formats up to the monumental.
Béatrice De Domenico lives and works in Nice.
Following two years of architecture studies at Luminy- Marseille, she was a student at the Villa Arson-Nice.
La Galerie Beddington a le plaisir de présenter le nouveau travail que Béatrice De Domenico a réalisé, sans jamais sortir une pièce de l’atelier, durant ces cinq dernières années.
De son travail précédent, sculptures aux volumes exacerbés, elle n’a gardé que le squelette, dessin en fil galvanisé, autrefois noyé dans la résine !
Ces nouvelles structures, légères et mobiles, jouent avec la frontière qui sépare le dessin de la sculpture et se déclinent dans les formats, jusqu’au monumental.
Béatrice De Domenico vit et travaille à Nice.
Après 2 ans d’architecture à Luminy- Marseille, elle a suivi les cours de la villa Arson-Nice.
La mémoire, le temps, l’espace, l’intemporel, les lieux.
Mes thèmes sont liés le plus souvent aux cultures, à la géographie et aux mythologies (La préhistoire/Les cartes/Les Celtes/La Méditerranée et ses civilisations?).
Ce sont les histoires d?histoires qui m?inspirent. Le site de « Gavrinis » qui se situe dans le golfe du Morbihan fait partie de notre histoire de l?art. En m?inspirant et travaillant sur ces motifs mégalithiques dans cette nouvelle série réalisée sur papier fait main, en taille d?épargne, collages et pigments naturels, je souhaite faire découvrir ou redécouvrir ce monument.
Memory, time, space, the intemporal, places.
My themes are linked more often than not to specific cultures, to geography and to mythologies ( prehistory/maps/the Celts/the Mediterranean and her civilisations?).
These are the tales of histories which inspire me. The prehistoric site of « Gavrinis » situated in the Gulf of Morbihan plays a major role in our history of art. By drawing inspiration from and working on these mégalithic motifs in this new series on hand-made paper, through relief printing, collages and naturel pigments, I aim to widen knowledge or help rediscover this monument.
Ramon Otting – Joie de Vivre II
Salle du Cercle Seillans
1st March 2013 – 16th May 2013
Opening: Saturday 2nd March 6 – 9 pm
Beddington Fine Art est honoré de présenter les nouvelles oeuvres de l’artiste peintre néerlandais, Ramon Otting, dans la salle du Cercle de Seillans. Sa nouvelle série de fleurs des champs évoquent une nature sauvage, généreuse et libre inspirée par les alentours de Seillans au coeur de la Provence et par la célébre toile ‘Joie de Vivre’ (1936) de Max Ernst (1891 – 1976), devenu Seillanais d’adoption il y a 50 ans!
« J’ai visité Ramon dans son atelier et, brusquement…je me suis retrouvée en plein été, de nouveau enfant, allongée dans un pré de fleurs sauvages, fascinée de tout ce que je voyais, entendais: couleurs, beauté, mais aussi la jungle, bourdonnant et crépillant de milliers de petites scarabées et insectes en train de se reproduire, de manger et de se faire manger… »
Annejet van der Zijl (Auteur Néerlandais)
Everything happens in the landscape
Comme dit Ramon Otting : « Je voudrais transposer la nature directement sur toile, me fusionner avec la nature, quoi qu’on doit toujours retravailler l’image. Parfois on va trop loin, et c’est râté, mais cela n’est pas mal non plus. L’essentiel, c’est le départ, car nos contraintes et notre insignifiance nous empêchent d’atteindre la perfection qui est la Nature. Notre challenge, c’est de préserver, de prendre la route vers sa destination, même si essentiellement, on ne fait rien ou presque rien d’original. »
Beddington Fine Art is proud to present new paintings by the Dutch artist, Ramon Otting, in the Salle du Cercle in Seillans. His new wildflower series is all about the rough, wild and loving nature and the way it evolves. He found inspiration for these paintings in the surroundings of Seillans, in the heart of the Provence, second home of Max Ernst (1891-1976), and specifically from Max Ernst’s famous painting: ‘La Joie de Vivre’ (1936).
“I went to see Ramon in his studio. Bing…..Suddenly it was high summer, and I was a child, lying in a field of wildflowers completely fascinated by what I saw and heard: colors and beauty, but also a jungle, full of buzzing and crackling, and thousands of small beetles, weevils and insects who were reproducing, eating and, in turn, were eaten…”
Annejet van der Zijl (Dutch Author)
Everything happens in the landscape
As Ramon Otting puts it : “I’d love to litterally transfer nature’s behavior to canvas. To be able to paint like that is like almost merging with nature, even though there’s always some sense of reshaping the image. But of course this is never attainable, this can only happen in nature. Sometimes you can also go too far, so you fall down, but that’s good too. In the end it’s all about the endeavour, because we can never really attain nature’s perfection. We’ll always be confronted with our shortcomings and insignificance. But the human challenge is in the perseverance, in the road towards the goal. Even though in essence you’re not, or barely, doing anything new.”
Since October 2011, this former silk factory’s art gallery has seen a renaissance, stepping up its previous artistic aims and offering 200 m2 of breathtaking contemporary art space for emerging and established artists in a magnificent listed heritage building.
This rebirth is due to a partnership formed between the Magnanerie’s owner, Pierre Dufrasne, his close friend, the contemporary art collector, Roland Daumesnil, and the well-known gallerists, Guy and Michèle Beddington, who have run these last eleven years an exceptional gallery and, in 2010, inaugurated a major sculpture park in seven hectares of olives groves, both of which are situated in or close to the nearby village of Bargemon.
As the Magnanerie’s opening show ‘Signes’ draws to a close (18th February 2012 ), the renaissance moves onwards from March 2012 with exhibitions by internationally established artists.
The first features Marcel Pinas, who picks up the thread of ‘Signes,’ for symbols play an important role in the work of this highly acclaimed artist from Suriname. Named by the World Economic Forum young global ambassador for culture in 2010, and honoured by H.R.H the Queen of the Netherlands’ personally opening his Amsterdam sculpture exhibition in March 2011, Marcel Pinas’ leitmotif ‘Kibri a Kulturu‘ (Preserve the Culture) remains the foundation stone of his creativity, a life force aimed at conserving and building upon the fragile cultural heritage of his people, the N’Dyuka, descendants of slaves transported from Africa to Dutch Guiana in the 18th and 19th centuries.
Pinas’ paintings, sculptures and Land Art and the Cultural Centre he is creating, safeguard against the otherwise inevitable erosion of their historic links to Africa and give a new cultural confidence to a younger generation humbled by civil war and polluted by gold mine exploitation. His canvases display a marvellous and rich colour sense allied to a complexity of geometric forms subtly embellished with the esoteric messages contained in the Afaka script, a native phonetic alphabet invented around 1900, and re-discovered by researchers in the 1960s.
On the 25th February 2012, the Magnanerie de Seillans will provide a most fitting backdrop, not only for the unveiling of Pinas’s majestic large format paintings, but also as the setting for a live performance by the artist . This opening date falls coincidentally close to the anniversary of Suriname’s brutal Civil War in the 1980s.
Marcel Pinas has kindly agreed to return to Bargemon later this July to become artist in residence and continue his creative work.
Complementing Marcel Pinas fittingly, the outstanding and graceful ceramic and steel sculptures of Laurence Simode Franzon, too, are totemic, and in great part inspired by the Dark Continent and express her conviction that we are all shaped by memories and experiences. Having trained originally as a theatrical make-up artist, then as a fashion designer, discovering ceramics was a life-changing event that revealed to her this extraordinary alchemy formed by the elemental interaction of earth, fire and air.
« I take my clay and build it up to a roughly finished piece until it is in equilibrium ; I instil into it my emotions, experiences, even my anger, until it becomes something poetic, gentle and constructive, fragile, yet timeless ».
Unesco Prize-winner in 2008, Laurence Simode Fronzon, who lives and works in the Champagne region of France, shuns enamelling and favours instead a simplicity and purety of form permitting her to channel her feelings more directly. To work with clay draws one back to the fundamentals.
Marcel Pinas : Paintings and Sculptures
Laurence Simode Fronzon : Sculptures and Ceramics
From 1st March until 2nd June 2012
Opening Hours
Thursdays and Fridays : 2pm – 6.30 pm
Saturdays : 10am – 6pm
And by appointment / + 33 (0)4 94 76 64 06 + 33 (0)6 09 18 66 02
Email : contact@beddingtonfineart.com
www.beddingtonfineart.com
Tél :+ 33 (0) 4 94 76 64 06
Mobile Guy Beddington : +33 (0) 680 111 763
Mobile Roland Daumesnil : + 33 (0)6 09 18 66 02
La renaissance à la Magnanerie de Seillans en 2012 se poursuit avec des expositions d’artistes de renommée internationale.
La première intitulée Back to the Roots’ avec Marcel Pinas et Laurence Simode Franzon, est en continuité avec celle des Signes’ avec Lume et Laurent- Emmanuel Briffaud. Les symboles jouent un rôle important dans l’œuvre de cet artiste du Suriname dont le thème « Préservez la culture » est l’âme de son travail. La destruction de la culture Aucaneers, héritage culturel de la communauté surinamienne des N’Dyuka est la source de l’inspiration de Marcel Pinas. Ses tableaux marient la maîtrise de l’écriture Afaka, dont il détient les secrets, et l’art abstrait.
Dans ses sculptures et céramiques, Laurence Simode-Fronzon exprime l’idée que nous sommes tous formés de souvenirs, d’expériences.
« Pour cela, j’ai pris de la terre que j’ai empilée afin de faire des Suvres brutes qui montent et s’équilibrent. J’empile mes émotions, mes expériences, mes colères aussi, pour en faire de la sculpture poétique, douce et constructive ».
Marcel Pinas Peintures et Installations, Laurence Simode-Fronzon Sculptures et céramiques seront à l’affiche du 1er mars au 2 juin 2012.
Le jeudi et le vendredi de 13h30 à 18h30, le samedi de 10h à 18h et sur rendez-vous
Installations de Marcel Pinas et de Laurence Simode-Franzon Jardin de Sculptures Bargemon sur rendez-vous :
http://www.beddingtonfineart.com/gallery.garden/index.html
Email : contact@beddingtonfineart.com
Tél :+ 33 (0) 4 94 76 64 06
Mobile Guy Beddington : +33 (0) 680 111 763
Mobile Roland Daumesnil : + 33 (0)6 09 18 66 02
Pour télécharger le dossier de presse, cliquez sur l’icône ci-dessous